Capturée pour avoir osé défier les lois hypocrites d'un pouvoir aveugle, Triss croupissait dans une cellule lugubre. Le symbole verdâtre de la censure flottait au-dessus d’elle, sinistre rappel de ce pour quoi elle était là. Derrière les barreaux, ce n'était pas la justice qui régnait : c'était la peur de la vérité, maquillée sous des sorts et des règles absurdes.
Le garde s'approcha, le sexe en main, un sourire mauvais aux lèvres. Il croyait l'humilier davantage en lui ordonnant de le branler. Triss, le regard froid, obéit sans un mot, ses doigts serrant cette verge tendue. Mais chaque mouvement de sa main, lent et détaché, trahissait son mépris. Ce n'était pas une soumission, c'était une protestation silencieuse, chaque va-et-vient n’étant qu'une claque de plus à l'orgueil du système.
Quand enfin le garde gicla dans le vide, laissant son foutre s’écraser contre la pierre sale du sol, Triss esquissa un sourire glacé. Elle n’avait pas plié, elle n’avait pas cédé. Elle restait debout dans sa tête, libre malgré les chaînes.
Captured for daring to defy the hypocritical laws of a blind authority, Triss rotted in a grimy cell. The greenish symbol of censorship floated above her, a grim reminder of why she had been locked away. Behind the bars, it was not justice that reigned — it was the fear of truth, masked behind spells and absurd rules.
The guard approached, cock in hand, a cruel smirk on his lips. He thought he could humiliate her further by ordering her to jerk him off. Triss, her gaze cold as ice, obeyed without a word, her fingers gripping the stiff shaft. But each slow, detached stroke betrayed her disdain. It was not submission — it was a silent protest, every movement a slap in the face of their fake authority.
When the guard finally spurted his load into the filthy stone floor, Triss allowed herself a frozen smile. She hadn’t bent. She hadn’t broken. In her mind, she remained standing — free despite the chains.