Après des heures de marche solitaire, Ciri avait quitté les ruelles animées pour explorer les vastes étendues sauvages. En quête d'un raccourci vers le vieux château perché au loin, elle s’était égarée sur un sentier rocailleux. C’est là qu’elle croisa un homme, un ouvrier du coin, l’air tout aussi perdu qu’elle. Un simple échange de regards suffit : l’atmosphère changea, lourde d'une tension immédiate. Sans un mot, poussée par un mélange d'audace et d'envie, Ciri s'approcha, confiante.
Sa main fine saisit fermement le sexe dur qu’il laissait pendre sans retenue. Ses doigts serrèrent la base, imprimant d’emblée un rythme lent et volontaire. Tout en le branlant doucement, elle leva vers lui ses yeux verts étincelants, un sourire en coin sur les lèvres. Le membre tendu frôlait presque sa joue sous ses gestes assurés, et l'odeur âcre, virile, emplissait l’air autour d’elle, éveillant en elle une excitation discrète mais indéniable.
Dans une provocation à peine voilée, elle effleura la pointe du gland avec ses lèvres, y déposant un baiser léger, presque moqueur, avant de relâcher sa prise avec grâce. Un dernier regard malicieux lancé par-dessus l’épaule, et Ciri reprit sa route comme si de rien n’était, laissant derrière elle un homme pantelant et hagard, sous le soleil éclatant.